17.12.09

Humeurs Hivernales


Ca y est il neige !
Première neige de l'hiver youhouuuuuuu !!!!!!
On m'avait dit que sur paris pas de neige avant janvier, j'en ai eut pour Noël : cool !!!!!!!
Ca me donne envie de sortir et faire la gosse à courir et glousser dans la neige mais bon ... On va rester cloitrer dans son bureau hein, fait froid dehors mine de rien ! Dommage que mon forfait ait rendu l'âme, jpeux même pas le dire aux gens -_-

Bref : happy day today ! ^.^
(même si fais froid :s)



(clique sur l'image pour la voir en plus mieux )

10.12.09

J'ai l'impression qu'on prend les ados pour des cons ...

Histoire de vous laissez respirer un peu entre X commentaires de livres, voilà une petite réflexion (sans doute inutile) à propos de la nouvelle littérature pour ados.
Ceux qui me connaissent se douteront que je viserai une édition en particulier : l'édition Black Moon.

Tout d'abord, le concept de la maison d' édition:
"Des romans aussi marquants que ceux des adultes" : la littérature des adolescents s'impose et gagne ses lettres de noblesse. Fantastique, thriller, roman historique : couleur de la nuit et du mystère, le noir l'emporte dans ces récits. Black Moon offre aux grands lecteurs des livres qui les prennent au sérieux sans donner de leçon.
Passion et frissons, romantisme absolu ou thriller psychologique, prépare toi à vibrer avec Black Moon."

Tout un programme n'est ce pas ? Moi ça me laisse perplexe...
Le bébé le plus connu de la fratrie et sans nulle doute la quadrilogie Twilight. Qui est à la fois le bébé mais aussi le précurseur et quelque part le géniteur du reste. Oui c'est compliqué je sais. Mais suivez un peu que diable ! Bref. Je prends donc en exemple une maison d'édition mais je pense que c'est valable aussi pour les autres, la littérature des ados se résume à deux mots et c'est bien malheureux : vampire et amour. Et dire qu'il y a à peine quelques années on ne jurait que par une cicatrice en forme d'éclair.... * soupir *
Le pire dans l'histoire c'est que merde, je suis pas vieille quand même ! Y'a encore quelques années j'étais une ados (chut, à 20ans je considère que je suis plus une ados >.<) et pourtant, aujourd'hui je lis ces bouquin et merde .... C'est niais ! C'est horriblement niais et invraisemblable ! C'est toujours la même chose est tous les bouquins se ressemblent ... c'est triste ! On habitue les jeunes à de la merde. Oui c'est un partit pris je sais, en lire un ou deux ok, mais lire que ça moi je dis faut pas pousser mémé dans les orties ! o_o

Enfin bref, je dis sans doute ça parce que j'aime pas les histoire d'amour et les vampires nian nian .... Peut-être ...

Le Seigneur des Runes


Quatrième de Couverture :

Il existe un monde ancien où règne un étrange système de magie. Certains nobles peuvent s'approprier les Dons d'autres hommes : Intelligence, Force, Vue ou Odorat. Les plus puissants dont appelés les Seigneurs des Runes. En contrepartie, ils s'engagent à assurer la subsistance de leurs Dédiés et de leur famille.

Mais celui qu'on surnomme le Seigneur-Loup s'est également octroyé les Dons de certains animaux et rêve de prendre le pouvoir absolu sur le royaume. Face à lui, le jeune prince Gaborn est peu armé pour le combattre. Lui ne rêve que d'amour et d'une vie paisible sans magie…


Avis de Moi :

Un bon vieux classique ai-je envie de dire. Classique dans le sens où l'histoire est plus ou moins (surtout moins que plus mais l'expression veut ça) déjà connue et est nouée à partir des grandes lignes de la fantasy : un héros, un méchant, une prophétie, de la baston, de la magie et un poil de sexe (si si on peut considérer le sexe comme une grande ligne, pas pour tous, je vous l'accorde).

Mais alors où est l'intérêt ?! Que faire ?! Que lire ?! A quel saint se vouer dans ce monde littéraire bafoué par le plagiat et le répétitif ?!

Ohla compagnons ! Laissez moi donc finir ! Ne vous emportez pas comme ça !

Je disais donc - avant d'être couper fort grossièrement - que ce livre rassemble les grandes lignes de la fantasy, ne perdant pas le lecteur rodé à la manœuvre de lecture placide. Dans ce cas comment se défirencie t-il ? Quel attrait peut-on lui trouver ? C'est simple, David Farland invente un nouveau mode de magie, un monde, un peuple et une culture qui lui est propre (oui je sais d'autres aussi le font, mais chut!). Son personnage est à mi chemin entre un grand niais et un avenger, ce qui fait qu'il est tout a fait supportable et qu'on l'aime assez pour pas s'énerver dés qu'on parle de lui (oui c'est quand même important mine de rien ...), les personnages secondaires sont tout aussi potable, certains meurent au bon moment, d'autre pas, bref il trouve le parfait équilibre pour rendre son livre haletant sans pour autant plonger dans l'ennui profond du : "de toute manière il va crever dans deux pages alors...". Quand au grand méchant, c'est j'ai envie de dire un grand méchant bien fainéant qui conquiert les territoire en parlant et en montrant son visage à la manière de la meilleure pub l'Oréal. Siiiiii !

Bref, je n'ai pour l'instant dévoré que le tome 1, mais je me doute que la suite sera tout aussi savoureuse, aussi je vous conseille de vous jeter littéralement dessus, histoire que votre voisin ne vous pique pas le livre ! O_O

Sortilège


Quatrième de Couverture :
Je suis un monstre. Pourtant, autrefois, j'étais le type parfait : grand, beau, riche et... atrocement méchant. Je n'aimais que moi et c'est pour cela qu'un sort m'a été jeté. Je suis devenu une bête difforme, velue, monstrueuse. Il me reste deux ans pour être aimé d'une jeune fille, sinon... Ceci n'est pas un conte de fées. Mon histoire prend place aujourd'hui, en plein coeur de New York. J'espère que quelqu'un va venir à mon secours. L'amour saura-t-il me trouver... et me sauver ?

Avis de Moi :
Pur fruit de la nouvelle création littéraire pour adolescents en pleine crise d’hystérie collective, « Sortilège » peut partir avec le sérieux handicap d’être entré dans la catégorie « livre pour jeune demoiselle en quête du grand amour » (dirons nous). Le premier effet, le premier regard sur la couverture sobre et épurée façon Twilight laisse septique, on sent venir le récit fleuri à trois kilomètres.
Première surprise, agréable surprise, on quitte les inévitables vampires devenus les chouchous immodérés de nos charmantes têtes blondes. On se retrouve face à un jeune homme, dix sept années au compteur, doté d’un caractère plus que prétentieux et désagréable (un adolescent normal en somme dirons les mauvaises langues, oui je suis mauvaise, je sais).
Le récit se déroule lentement, il croise le chemin d’une sorcière – et là on tique légèrement, ça parait un peu étrange, mais soit – et pouf ! Tu es méchant, tu deviendras le monstre que tu es à l’intérieur, ça t’apprendras vil garnement ! Soit.
A partir de ce moment, le récit vire dans la réécriture de mythe : celui de la Belle et de la Bête. Passé le sentiment étrange qui nous titille, on se laisse bercer par ce retournement de situation et on apprécie les petites pauses Tchat façon MSN qui font le lien entre les différents chapitres du livre. Une lecture simple et facile, à conseiller aux jeunes adolescents (à partir de 12 ans) qui n’ont pas envie de se prendre la tête avec quelque chose de compliqué.

L'étrange histoire de Benjamin Button



Synopsis :
Benjamin Button naît dans une famille riche de la Nouvelle-Orléans à la fin de la première guerre mondiale. Sa mère meurt quelques minutes après l’accouchement et son père, en découvrant le visage hideux de son fils (Benjamin a l’aspect d’un vieillard dans le corps d’un nourrisson), l’abandonne sur les marches d’un hospice dirigé par Queenie, une femme noire d’une générosité exemplaire. Les années passent et, inexplicablement, Benjamin grandit et rajeunit…

Avis de Moi :
Enième adaptation d’un livre pas ou peu connu du grand public (à l’instar de « Je suis une légende » ou « un secret »), je dirais que ce film est une semi réussite. Si le casting est plus que magistral (Brad Pitt quand même ... et dans un rôle profond et sensible, ça compte ! Si, si !), les images sublimes et l’histoire à verser quelques larmes, il reste cependant un vague sentiment d’être passé à côté de l’essentiel. Pour qui n’a pas précédemment lu le livre (ou ne veut tout simplement pas en entendre parler, oui ça arrive aussi) ce film est bon. Mais - car oui il y a un mais - il ne colle pas (ou peu) à la nouvelle éponyme. Alors oui, c’est un film, c’est normal, c’est pour ça qu’au final on ne lui en tiendra pas rigueur et on se concentrera plutôt sur les prouesses que l’on est désormais capable de faire avec un ordinateur et sur un Brad Pitt qui nous montre quelle frimousse on pourrait lui trouver dans 40 ans.

Oceana : Love Supply


Genre : CD, histoire de changer un peu . . .

Avis de Moi :
Dernière née de la pop américaine, les rythmes proposés par Oceana sont à l’instar de son nom une petite bouffée d’air marin. On n’y découvrira pas de terres vierges et inexplorées mais on se laissera porté par la douce brise de sa mélopée, se prenant parfois à siffloter du bout des lèvres. Si les médias n’ont relayé que le titre « Cry Cry », d’autres pourtant sonnent à nos oreilles comme un air de déjà entendu, surprenant de découvrir l’auteur, Oceana mérite d’être découverte et appréciée pour ce qu’elle nous offre : une douce voix au service du voyage. A découvrir !